Il y a plus de 4000 ans, les Egyptiens remplissaient déjà leurs tombes d’onguents et parfums. Des formules médicinales et cosmétiques ont été retrouvées sur le papyrus d’Ebers (1800 avant JC), tout comme les onguents et décoctions apparaissaient déjà sur les tablettes sumériennes. Ainsi, les anciennes traditions de peintures corporelles ont laissé place aujourd’hui au maquillage et tatouage. Selon chaque civilisation, cette manière de prendre soin de son corps a pris différentes significations quelle soit religieuse, sociale ou superstitieuse.
Depuis les années 80 et de plus en plus aujourd’hui, les préoccupations du consommateur quant à la préservation de l’environnement et l’utilisation des produits chimiques grandissant, la « cosmétique naturelle » renaît avec un usage majeur de plantes, huiles essentielles et les bases d’origine végétale (huile ou cire d’abeille par exemple).